MAISON EUZÉBY

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Tous les étés, depuis 2008, Lilian Euzéby invite des amis artistes à exposer dans sa maison/atelier.

Ce sont près de 90 artistes qui ont montré leurs œuvres dans cette drôle de maison,

située dans les gorges du Gardon, entre Uzès et Nîmes, exactement.

Maison Euzéby, 6 place de la fontaine, Russan, 30190 Sainte Anastasie.

Rens: 0609747636  ou  l.euzeby@yahoo.fr

CETTE ANNÉE L’EXPOSITION DÉBUTERA LE SAMEDI 22 JUILLET

POUR SE TERMINER LE SAMEDI 2 SEPTEMBRE

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L’entrée …

(Faites dérouler l’écran …)

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Claude Viallat. Une des trente peintures de l’artiste, présentée en 2010

pour l’exposition « Allez-vous en couleurs charmantes ».

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La cour d’entrée

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Une des œuvres de Sophie Calle présentée en 2017

pour l’exposition « Pour une autre fois ».

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L’entrée du petit cellier dédié à Sophie Calle en 2017.

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5 grands pastels de Guy de Rougemont en 2018 pour l’exposition “Ce n’est que du papier“

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Serena Carone et son poulpe en faïence, Julian Schnabel à droite

et Marie Hugo à gauche en 2014 pour l’exposition « La même terre nous garde ».

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Détail d’une peinture de Julian Schnabel.

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Les œuvres sur papier de Gérard Traquandi dans l’atelier en 2018

pour l’exposition “Ce n’est que du papier“.

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Une façade de la maison.

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Rudy Ricciotti en 2016.

Dessin à l’encre de seiche pour l’exposition « Avec fureur et silence » en 2016.

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Jeanne Susplugas. Fat Free pour « Loin des claires meules » en 2012.

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Des œuvres sur papier de Martial Raysse en 2018 pour “Ce n’est que du papier“

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Philippe Favier de la série « Noir » pour l’exposition « Avec fureur et silence ». 2016.

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Crying woman de Serena Carone dans une petite niche de la Maison Euzéby en 2014.

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« Ici repose des secrets » Sophie Calle dans le petit cellier en 2017.

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« Ce que je vois » de Serena Carone en 2014.

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Philippe Favier. Sans titre. Exposition « Dans l’immense infini tout demeure ». 2011.

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6 paysages ovales de Lilian Euzéby dans le bureau en 2018 pour “Ce n’est que du papier“.

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« Sur les bords dorés de l’univers » paysage de Lilian Euzéby .

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La salle de « l’atelier » en 2016 pour l’exposition « Avec fureur et silence ».

Suzy Lelièvre, Rebecca Bournigault, Lilian Euzéby, Rudy Ricciotti et Dario Polenghi.

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Une huile de Vincent Bioulès pour « Quelque dieu est ici » en 2021.

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Au fond les encres de Gilles Balmet et à droite

Les châteaux de sucre de Lionel Scoccimaro

pour l’exposition « Loin des claires meules » 2012.

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 Silver mountains de Gilles Balmet pour « Loin des claires meules » 2012.

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Une vue de la Maison Euzéby.

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Les »Siestes », peintures de Lilian Euzéby dans l’atelier en 2017.

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Philippe Favier au premier plan et Sophie Calle sur le mur du fond pendant l’été 2019 pour “Rien que des cendres“.

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Sophie Calle “Le cruciverbiste“ 2019.

Cette sérigraphie fut tirée spécialement pour l’exposition “Rien que des cendres“.

Elle est un hommage à Jean Lafont.

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La pieuvre en céramique de Serena Carone et les pieuvres à l’encre de Marie Hugo.

En 2014 pour l’exposition « La même terre nous garde ».

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Les danseuses de France Cadet dans le petit cellier pour « Dans l’immobile infini tout demeure » en 2011

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Un détail du portail d’entrée, le soir.

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Philippe F. Roux. Oeuvres sur papier pour “Ce n’est que du papier“ en 2018.

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Un paysage à l’huile de Vincent Bioulès en 2021.

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l’atelier …

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Une installation de Serena Carone en 2021.

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Marina Gadonneix et sa série « Trees » en 2010 pour « Dans l’immobile infini tout demeure »

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« Des vivants et des dieux », « Le sens des choses » et « L’ancienne mer »

Peintures de Lilian Euzéby pour « Quelque dieu est ici » en 2021.

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Les couvre-chefs de Catherine Bret-Brownstone, pour « Quelque dieu est ici » en 2021.

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Une fenêtre et un livre de Paul Morand.

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Une œuvre de Rieko Koga en 2021.

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Les casques de Rémi Tamain au premier plan, les « Nostalgies de l’étoile » de LIlian Euzéby au fond à droite,

« La même terre nous garde » de Lilian Euzéby au fond à gauche en 2014 dans l’atelier.

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Martin d’Orgeval. 2018. Pour l’exposition “Ce n’est que du papier“.

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Pierre Boucar dans la cour pour « Allez-vous en couleurs charmantes » en 2010.

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Hommage à la photographe Christine Lucas en 2021.

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Détail de l’installation « Sainte Sara » de Christine Lucas en 2021.

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Le traditionnel aïoli sous la tonnelle.

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Quelques ipomées de Jean Michel Meurice en 2022.

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Installations de Pascal Bircher pour « Une partie de campagne » en 2009.

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En 2017, projection du film « La méprise » du réalisateur David Teboul.

Le visage de Laure Adler éclairé par un reflet.

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Marcel Broodthaers. Vidéo « La pluie » en 2015.

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Les œuvres de Lilian Euzéby dans l’atelier en 2017.

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Lilian Euzéby. Détail du « Ciel des Flandres ». 2017.

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Claude Viallat en 2010 pour « Allez-vous en couleurs charmantes » en 2010.

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Spectatrice devant les photographies d’Anne Guillaume en 2009.

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Anne Guillaume pour « Des gentils et des méchants » en 2009.

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Le soir, l’eau dans la cour …

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Philippe Favier. 2011. Les sept boites de conserve …

pour l’exposition « Que des souvenirs de soleils » en 2013.

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Une des 7 boites de taboulé de Philippe Favier

pour l’exposition « Que des souvenirs de soleils » en 2013.

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l’installation de Matej Kren au centre et Lilian Euzéby sur les murs.

Pour l’exposition « D’une plume qui grince » en 2015.

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Une photographie de Bruce Paoli accrochée dans la cour.

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Dans le cellier de Sophie Calle en 2017.

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Un diptyque de Sophie Calle dans le petit cellier en 2017.

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Hervé Di Rosa et Pierre Schwartz pour l’exposition « Loin des claires meules » 2012

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Christian Limantour dans le petit cellier pour « Une partie de campagne » en 2009.

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Martin d’ Orgeval. Série de 20 photographies « Touchés par le feu » pour l’exposition

« La même terre nous garde ».

Une des photographies de Martin d’ Orgeval pour « La même terre nous garde ».

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Philippe Favier en 2016 dans les petites pièces du bas.

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Lilian Euzéby. Monument pour Johnny. 2004-2012.

Technique mixte sur céramiques. 300 cm x 300 cm.

Exposé en 2013 pour l’exposition « Que des souvenirs de soleil ».

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Frédéric Clavère en 2008 pour l’exposition « Des gentils et des méchants »

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Discussion devant le supplice de Clavère durant le vernissage en 2008

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Quelques géographies de Lilian Euzéby en 2015.

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Odysseus par Lilian Euzéby.

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Hélène Lameloise. Des collages pour “Ce n’est que du papier“ en 2018.

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Dans la salle des Viallat en 2017 « Pour une autre fois »

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Lilian Euzéby en 2019 pour “Rien que des cendres“

Lilian Euzéby. Une série de labyrinthes en hommage aux textes de Jorge Luis Borges.

Pour l’exposition  “Rien que des cendres“.  Été 2019.

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Un assemblage de polaroid de Bruce Paoli en 2009 pour « Une partie de campagne »

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Christian Limantour en 2016.

Hommage à la boite valise de Marcel Duchamp.

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Détail de la boite valise de Christian Limantour.

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Quelques livres dessinés de France Bizot pour l’exposition « Quelque dieu est ici »

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Une spectatrice devant une encre de Rudy Ricciotti en 2020.

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Olivier Deléage. Photographe au collodion en 2016.

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Lilian Euzéby. Le mur de la Bouvine en petite configuration. 2010.

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Philippe Louisgrand. Taureau dans le cellier en 2018.

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Les manœuvres de Lahouari Mohamed Bakir pour « Allez-vous en couleurs charmantes » en 2010.

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Emilie Lasmartres « Distances » en 2013 pour « Que des souvenirs de soleils ».

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Le petit comptoir du vernissage en 2009.

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Claire Dantzer, les os qui se sucent et les portraits de cannibales

pour l’exposition « Loin des claires meules » en 2012.

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Pascal Bircher et son autoportrait en 2009.

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Alain Declerq pour l’exposition « Loin des claires meules » en 2012.

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Détail d’un des poissons de Fukushima de Sophie Dupré pour « Que des souvenirs de soleils »

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La vigne vierge dans la cour de la Maison Euzéby.

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Photographies de Edward Hopley dans l’atelier en 2012.

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Une des photos de Edward Hopley en 2012.

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2008 devant des peintures de Frédéric Clavère.

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Une vue de la descente d’escalier…

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Une spectatrice photographiant une peinture de Lilian Euzéby en 2020.

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Dessins de Bruno Botella au premier plan et Le martyre de Frédéric Clavère au fond. en 2008 dans l’atelier.

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Dans la cour Remi Tamain et ses HLM en 2010.

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Philippe Favier et ses petites peintures en 2011.

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Enguerand David au premier plan, au fond, Gérard Traquandi et à droite Martial Raysse.

En 2018 pour “Ce n’est que du papier“

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Au même endroit Herbert Zangs en 2013.

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Une œuvre d’Herbert Zangs en 2013 pour « Que des souvenirs de soleils ».

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Au dessus de la vigne vierge qui surplombe la cour.

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Salle Frédéric Clavère pour « D’une plume qui grince » en 2015.

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Un mur de gravures de Anne Rothschild pour « De l’éperdu » en 2020.

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Détail de l’ensemble de gravures de Anne Rothschild. 2020.

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Un beau tissus de Viallat dans l’atelier pour « Allez vous en couleurs charmantes » 2010.

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Dans la salle du Taureau en 2017. Des encres de chine de Philippe Louisgrand.

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Lilian Euzéby. Au centre “Tel est le Temps“ en 2018.

Pour “Ce n’est que du papier“.

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Un soir de vernissage

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Philippe Favier à gauche, la sculpture en faïence de Serena Carone sur le socle

et les encres de chine de Marie Hugo pour l’exposition « La même terre nous garde » en 2014.

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Tables choquées de Suzy Lelièvre en 2016 pour « Avec fureur et silence ».

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L’entrée de la Maison Euzéby en 2012.

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« Car en Sac » de Laurent Perbos et « Siestes » de Lilian Euzéby en 2010 pour « Allez-vous en couleurs charmantes ».

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Isabelle de Scitivaux et son poisson volant pour « Une partie de campagne » en 2009.

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Les dominos gravitation de Suzy Lelièvre et les tableaux de Dario Polenghi.

Pour « Avec fureur et silence » en 2016.

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Les même dominos de Suzy Lelièvre et les aquarelles de Rebecca Bournigault au fond.

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Les aquarelles de Rebecca Bournigault pour « Avec fureur et silence » en 2016.

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Yves Selrous-Larrose en 2009 dans le petit cellier pour « Une partie de campagne »

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Toreros mayas de François Schaer en 2013 dans l’atelier.

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Pierre Bendine Boucar dans le petit cellier en 2012.

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La manade imaginaire de Lilian Euzéby pour « Quelque dieu est ici » en 2021.

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Frédéric Clavère d’après Philippe de Champaigne. Vanité peinte au goudron

pour l’exposition « Dans l’immobile infini, tout demeure ». 2011.

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Un dessin d’Olivier Hubert dans la jungle de la cour de la maison, été 2021.

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Claude Viallat. « Allez-vous en couleurs charmantes » 2010.

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Thierry Flamand. Photographie pour l’exposition « Arrivée de toujours qui t’en iras partout » en 2022.

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Nicolas Tourette au premier plan et Guy de Rougemont sur les murs

pour « Que des souvenirs de soleils » en 2013

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La cour, à midi.

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Les quinze dernières éditions …

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Philippe Favier en 2016.

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Rosalia Moïsevna Rabinovich. Dessins circa 1930.

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Pierre Schwartz. « Les buts » pour l’exposition « Loin des claires meules » 2012.

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Lionel Scoccimaro en 2012.

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La symétrie du monde par Lilian Euzéby en 2021

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Spectateurs devant les œuvres de Christian Limantour en 2008.

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Une vue de la maison.

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Des photographies de Burce Paoli en 2021.

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Lucio Fanti. “Collines“. 2018 pour “Ce n’est que du papier“.

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Les recoins de la maison.

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Philippe Favier. Détail d’une des cartes de visites montrées en 2011 et 2013.

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La nuit, dans la cour.

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Philippe Favier en 2017. « Les mariages de Francis ».

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France Cadet dans le petit cellier en 2011.

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Claude Viallat en 2010 dans l’atelier.

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Une vue de la salle dévolue aux paysages à l’encre de chine d’André Dael

en 2021 pour « Quelque dieu est ici »

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Un paysage à l’encre de chine d’André Dael en 2021.

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François Schaer. Une des 10 photographies des toréros mayas présentées en 2013.

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Corinna Ryman dans le petit cellier pour l’exposition « La même terre nous garde » en 2014.

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Une peinture de Nicolas Pincemin en 2009 pour « Une partie de campagne ».

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Dario Polenghi. Sans titre pour l’exposition de 2014.

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Une peinture de Dario Polenghi en 2020.

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Gérard Lattier détail d’une des dix peintures présentées pour l’exposition

« D’une plume qui grince » en 2015.

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Yves Selrous Larrose dans le petit cellier en 2009.

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Salle des dessins en 2015.

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Une autre vue avec Lilian Euzéby, à l’heure de la sieste.

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Alicia Vaisse , un des dix dessins présentés en 2014.

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Christian Limantour. Hommage à Charles Nodier en 2008.

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Une vue de la cour

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Une photographie d’Anne Guillaume en 2009 pour « Une partie de campagne ».

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Sophie Bouloux. 2009.

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Guy de Rougemont. Aquarelle en 2018.

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Dans « l’atelier », « Girafe » de Stéphane Kouchian, au mur les encres de Philippe Louigrand,

au fond l’installation « Tout se perd » de Lilian Euzéby pour l’exposition « Dans l’immobile infini tout se perd » 2011.

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La prochaine édition aura lieu en juillet et Août 2023.

Les dates précises seront communiquées à la fin du printemps 2022.

Maison Euzéby, 6 place de la fontaine, Russan, Sainte Anastasie, 30190.

mail: l.euzeby@yahoo.fr           tel: 0609747636

à 15 minutes en voiture de Nîmes et d’Uzès, à 30 min d’Arles,

à une 1h de Montpellier et 40 min d’Avignon.

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à bientôt …

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